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      MonTestament

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    Si je devais un jour appareiller pour une autre terre,

    Et de ce fait, rejoindre notre sainte mère !

     

    Je ne veux pas de larme, il faut le pouvoir,

    Ce n’est pas un adieu, mais un simple au revoir.

    Riez, chantez, dansez auprès de moi que j’en tremble

     

    Et trinquez aux bons moments passés ensembles.

    Habillez-vous de vos plus vives couleurs,

    Dressez une table, emplie mets et de douceurs,

    Apportez de la musique et zoukez avec mon esprit,

    Il vous accompagne aujourd’hui, demain, pour la vie.

    Faites la fête jusqu’au petit matin,  puis fatigués,

    Placez-moi près de ceux qui hélas m’ont précédée.

     

    N’ayez pas peine, Je suis près de ceux que j’ai chéris,

    Et je prépare avec eux, une fête pour vous accueillir.

    Musique, cotillons et petits fours, on vous attend,

    Mais ne brûlez pas les étapes, prenez votre temps.

    Aujourd’hui je repose, loin des tracas de ce monde,

    Je ne souffre plus, je suis sereine, je suis une onde.


     À mes enfants que j’ai tant chéris, peut-être gauchement,

    Je lègue mon amour et nos éclats de rires insolents.

     

    Coucou, je suis encore là.

     

    À mon compagnon que je précède ce jour,

    Je lègue ma passion pour toujours.

    Pense à ta main gauche, oui celle-là.

     

    À mes parents, s’ils sont encore présents,

    Je lègue ma tendresse infinie et mon attachement.

    Je vous aime tendrement.

     

     

    À ma sœur et tout ceux de notre sang,

    Je lègue mon affection et mes tendres sentiments.

    Prenez-vous les mains, embrassez-vous gentiment.

     

    Enfin au père des cinq magnifiques enfants

    que nous avons conçu avec un amour fervent,

    Je lègue nos souvenirs et les rires de nos enfants.



    Ce n’est qu’un au revoir …

     

    6 X 2002                                            A.T.B.

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  • identite-sebastien.png

    Il est né avec les premiers jours du printemps

    Bébé, il mordait la vie à pleine dents

    À 4 ans, il a été confronté à la mort,

    De sa petite sœur, il a reconnu le corps.

    Sa vie a alors basculé, dégouté, il s'est révolté,

    Contre l'injustice, sa souffrance l'a amené  vers l'agressivité.

    Pourquoi Elle ? Elle était si petite et lui si jeune ! Pas juste !

    Il s'est forgé une vie, d'insouciances, de plaisirs défendus.

    Pour décider de sa journée, un peu comme caresser une amulette,

    Comme l'on tire le tarot, chaque matin, il craquait une allumette.

    Tous les jours, cette allumette le menait vers son destin

    Il vivait vite, n'avait jamais le temps, on verra bien demain.

    Avec le temps sa vie s'est doucement tempérée et il fonda une famille,

    Mais toujours cette allumette venait le piquer un peu comme une aiguille.

    Toute sa vie, il a fait appel à cette allumette, une sorte de tirage au sort,

    Très jeune, il avait su qu'il ne vivrait pas vieux et le disait  très fort.

    Il a brulé les étapes, voulait tout voir, tout connaitre, vite, vite, il n'avait pas le temps,

    Autodidacte, il était doué dans tout ce qu'il faisait, il avait des mains en or, brillant.

    Un matin, la journée était belle, il craqua à nouveau cette maudite allumette,

    À l'angélus, il vit une lumière brillante, il entra dedans en fumant une cigarette.

    Depuis ce jour marqué à jamais, je ressens quotidiennement cette présence intemporelle

    Un oiseau se pose sur ma fenêtre, chante à tue tête et me donne de bonnes nouvelles.

    16 VI 2010                                                                                                      ATBD

     Copyrigt ©  2010- Dugourd-Tonanti "Mirages" - Tous droits réservés

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  •  

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    C’est hier, tout au fond du grenier,

    Que j’ai retrouvé un miroir oublié.

    Quelle est son histoire ?  D'où vient-il ?

    Quel est son âge ? À qui appartenait-il ?

     

    Les anciens ne sont plus là pour en parler.

    Pourtant ils l’on tenu en main, s’y sont admiré.

    Une moue, un clin d’œil, une mèche replacée,

    Un geste pour plaire, que d’images reflétées.

    Tous ces détails ! S'il pouvait me les raconter !

     

    Et les enfants avec leurs jeux insolents!

    Ceux-là même qui adorent imiter les grands.

    Ils l’ont regardé, lui ont longuement parlé,

    Dans leurs jeux innocents auraient pu le briser.

    Puis en grandissant s’en sont désintéressé.

     

    Une foule de souvenirs s’y rattache,

    Une sortie, un jeu, un désarroi, un évènement,

    Il a même été pour un temps, un confident.

    S’il pouvait parler, que de chose à renvoyer,

    Mais sa mémoire reste muette, comme glacée.

    Cette psyché, objet de désirs longtemps convoités,

    Un beau jour, dans un coin, est oublié !

     

    C’est un peu ma vie, j’ai été appréciée ou détestée,

    Dirigée ou suivie, rejetée ou estimée, injuriée ou félicitée.

    Certains pensent à moi souvent, mais ne le disent pas,

    D’autres m’aiment tendrement, mais ne le montrent pas.

    Je suis, une pensée fugace entraînée par le flot de la vie,

    On ne sait comment, dans un coin est oublié ! C'est ainsi.

     

    28 septembre 2003                                                                    A.T.B.

    Copyrigt ©  2003- Tonanti-Bacci "Rêveries" - Tous droits réservés

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  • Pourquoi ai-je le vague à l'âme ce  soir ! Je ne saurais dire !

    Une petite bêtise insignifiante vient de me ramener en arrière.

    Le souvenir d'un temps qui n'est plus, mais que je ne puis dédire

    Pour un être cher devenu cendres et poussières

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    Je vais bien, tout va bien…

    C’est pas vrai, j’ai mal

    Mal au corps, mal au cœur, mal à l’âme

    J’ai beau dire, ça ira mieux demain,

    Me secouer, respirer à fond de cale,

    Tout me reporte vers ce drame.

     

    Un objet, une réflexion, un souvenir,

    Et je ramène tout vers ce garçon insolent,

    Les larmes me montent aux yeux.

    Je m’essuie et passe avec un soupir,

    Ce grand vide me laisse les bras ballants,

    Nous étions assez proches tous les deux.

     

    Même entêtement, même emportement,

    Soupe au lait mais sans rancune,

    Besoin d’aimer, besoin d’être aimé,

    Cherchant sans cesse le contact permanent,

    Qui laisse au cœur une certaine amertume,

    Mal aimé, aimant mal, souvent blessé.

     

    Moi du vingt cinq, lui du vingt deux,

    Nous avions dans nos thèmes,

    Le bélier qui va toujours de l’avant,

    Le tigre vif, ardent et courageux,

    Mars, dieu romain de la guerre,

    Nous a donné imprudence et élan.

     

    Mais je voudrais sortir de cette torpeur

    Qui m’engourdit, dominé par la passivité,

    Faire table rase, tourner la page, repartir,

    Retrouver enthousiasme, entrain, ardeur,

    Le bon coté de la vie avec intensité,

    Éprouver à nouveau la joie de vivre.

     

    15 x 2002                                                                   A.T.B.

    Copyrigt ©  2002- Tonanti-Bacci "Rêveries" - Tous droits réservés

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  • J'ai trouver ce coeur chez Mamie Danie


    http://i45.tinypic.com/25qvszo.jpg

    Je le fais suivre à mon tour, toi aussi fais le suivre

    Bisous

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  • Hier la terre séchait un peu et on espérait que ...

    En fin de journée de gros nuages menaçant se sont montrés. Puis nous avons essuyé un orage. Il a plut toute la nuit, ayant un sommeil léger, j'ai entendu la pluie marteler le toit. Ce matin , il pleut ... Et cela m'arrêtera pas

    Patrice rentre les engins à l'abri,il est trempé comme un canard, pourvu que par dessus le marché il ne prenne pas froid ce serait le bouquet. ET pour demain, les prévisions, encore de la "me...".http://www.dinosoria.com/gifs/meteo/gif028.gif

    Mauvaise nouvelle, les tranchées de ceinture se sont élargies et écroulées, encore du boulot pour rien et à refaire ...

    Quand ? Verra-t-on enfin le fin de ce calvaire ? ...

    Aujourd'hui, je devrais aller à mon atelier de peinture, pas le courage, j'annule. Le ferais le principal à la maison, les finitions, lundi prochain avec le prof.

    PFFFFFFFFFFFFFFFFFF ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !  Y EN A MARRE ! ! ! ! ! ! !  PAS LE MORAL ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

    http://www.gifsmaniac.com/gifs-animes/meteo/pluies/meteo-pluies-16.gifCitation:

    Juin froid et pluvieux,

    Tout l'an sera grincheux.

    En juin trop de pluie,

    Et le grenier vide s'ennuie.

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  • Un article édifiant que m'a envoyé Maman, à voir jusqu'au bout, c'est effarent

    Je ne suis pas arrivée à insérer cette vidéo dans ma page , dommage

    Recopiez ce lien dans votre fenêtre http: //

     

    http://www.youtube.com/watch?v=DMKb9A6Kouk&feature=player_embedded


    Apparemment ça marche sur le blog
    Bisous

     

     

     
     

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  • Bravo d'écrire ce que tout le monde pense tout bas et qui n'a pas le courage de le dire. N'est-il pas trop tard..Essayons d'arrêter les dégâts et faisons le tri sur l'immigration 

    http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:CYFy-_zElOwSUM:http://legacy.lclark.edu/~krauss/advwrf99/culturecapsules/saeedhirokazuweb/images/al%20burga.jpg


    > >
     
    > > Marseille, le 24 avril 2010 
    > >
    Monsieur BRICE HORTEFEUX
    > >
    Ministère de l’intérieur
    > >
    Place beauvau 
    > >

    75800 PARIS 

    Monsieur le Ministre, 
    > >

    J’espère que vos dernières réactions à l’affaire de la femme en burqa de Nantes, ne sera pas qu’un effet d’annonce, et que vous irez jusqu’au bout. 

    En effet, combien de familles polygames vivent tranquillement dans notre pays, aux frais des contribuables que nous sommes. Combien sont dans l’illégalité, et vivent sans travailler de nos largesses : allocations femmes isolées, allocations familiales, RSA, allocations logements, allocations à la rentrée scolaire, et j’en passe, plus  la CMU (pour la famille et la famille de la famille…..), c’est sans fin, et ça nous entraîne vers le fond.
    > >  

    > >
    Nombre de français sont exaspérés de constater ces abus, et de se sentir colonisés à l’envers, par une population qui ne parle que de droit et  jamais de devoirs.
    > >  

    > >

    Si vous voulez être vraiment crédible, il faut aller jusqu’au bout, beaucoup plus loin, démasquer tous les fraudeurs et les profiteurs de tous poils qui nous empêchent de nous redresser. 

    Ces situations créent un appel d’air, c’est évident. Et en faisant le contraire, on arriverait peut-être à inverser la tendance.
    > >
    > > Il faut arrêter de dérouler le tapis rouge pour toute la misère du monde, nous n’avons pas les moyens !!! Et en plus, ça se retourne contre nous : il n’y a qu’à voir ce qui se passe dans nos banlieues. 

    > >

    > > Il y en a assez de bafouer la république et nos valeurs. Assez des horaires réservés aux femmes dans les piscines, des refus de se faire soigner par un homme dans les hôpitaux, assez des menus spéciaux dans les cantines, des quick hallal, et même de la nationalité française bradée. Assez de la loi du sol. Il serait temps de revenir à la loi du sang.
    > >
    > > Je ne suis pas raciste, mais l’immigration musulmane n’a rien à voir avec l’immigration judéo-chrétienne. Il ne faut pas se leurrer. 
    > >

    > > Je suis tolérante, je ne suis pas raciste, mais j’ai voté au 1er tour des élections régionales pour le Front National, car je trouve que vous êtes responsables de cette dérive communautariste. J’ai voulu vous donner un avertissement. Et si vous souhaitez reconquérir vos électeurs dont je suis, il faut vraiment aller très loin dans la reprise en main de notre beau pays. 
    > >

    > > Je vis à Marseille, nous allons avoir la plus grande mosquée d’Europe, plus grande que notre cathédrale !!! Et vous voulez après ça que les musulmans ne se sentent pas en pays conquis. 
    > >

    > > Allez Monsieur le Ministre, il faut que cesse le politiquement correct. Il faut que vous et Monsieur Besson preniez des mesures fortes et bien lisibles pour que toutes ces combines cessent, et qu’on dise dans le monde musulman, qu’en France, on ne peut plus faire ce qu’on veut. Il faut leur résister, pour qu’ils comprennent que tout n’est pas permis. 
    > >

    > > Quant aux femmes qui portent la burqa, qu’elles aillent avec leur mari et autres concubines, et leur ribambelle d’enfants, vivre dans un pays où elles seront au diapason, puisque la liberté de la France ne semble pas leur convenir. Parce qu’en ce qui me concerne, elles me gênent considérablement. 
    > >

    > > Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’assurance de ma parfaite considération 
    > >

    > > Copie adressée à Monsieur Patrick Besson, Ministre de l’Immigration et de l’identité nationale


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