EH toi ! Oui c'est à toi que je m'adresse !

Tu t'es encore une fois, trompée d'adresse !

 

Tu emportes, comme cela, au gré de tes lubies,

Des jeunes qui ont à peine goûté à la vie,

Ne laissant derrière toi que tristesse et désolation,

Sans aucun espoir d'une plus petite rémission.

 

Pourtant, il y a tant d'homme en fin de parcours,

Qui attendent ton passage, assis dans leur cour,

Tant de "vilains", que tu pourrais emporter

Sans que personne n'ait à le regretter !

 

Ne sommes-nous pour toi qu'une loterie ?

Est-ce de ta part un défi, une sorte de pari ?

Cela t'amuse, ce petit jeu de hasard ?

Et tant pis, si cela nous laisse hagards !

 

Ne pourras-tu aller glaner tes âmes ailleurs

Et nous laisser vivre dans la joie et la bonne humeur

 

24 IX 2004                                                 A.T.B.

Copyrigt ©  2004 - Tonanti-Bacci "Chimères" - Tous droits réservés

Pour les amoureuse des petites croix, voici un tableau réalisé en 2009.

 

 

 

Petit tableau de taille 27x35, réalisé sur toile aïda 5/5 blanche, aux points comptés.

Quelques heures de boulot, de détente, de sérénité, je me suis régalée à le faire.

Bisous à toutes

Je t'ai très peu connue, mais J'ai toujours vu en toi une gentille fille, combative malgré tes problèmes de santé et voulant défendre la juste cause, cela me plaisait bien.

Mais voilà, depuis quelques jours, je découvre une autre facette, tu es hargneuse et rancunière. Ton truc est de semer la zizanie entre bloggeuses, c'est petit.

Bons nombres d'entre nous se sont inscrites sur ce blog, afin de se faire des amies et discuter en toute sérénité.

Nous avons toutes notre lot de problèmes, que se soit santé ou moral, et nous n'avons pas besoin que quelqu'un vienne nous enfoncer encore plus dans nos tourments.

Alors je te le demande, telle une prière, arrête ce petit manège puéril, ces gamineries, je pense que tu as passé l'âge de faire cela et que tu as bien mieux à faire.

Redeviens la femme sympa et avenante, qui combat la juste cause.

Nous t'aimons bien malgré tes petits défauts, dans la mesure ou tu ne te lances pas dans des guéguerres entres bloggeuses.

À bientôt de lire des articles plus mesurés

Amitiés sincères

 

Tit'Anik

J'ai écris ces quelques lignes pour  ma fille, première née d'une fratrie de 5.

à l'époque on ne savais pas le sexe de l'enfant, on s'est retrouvés bêtes le jour J, à chercher en catastrophe un prénom féminin commençant par S. Ainsi fut accueilli Sandrine

Mon enfant

 

Toi, tous les jours, un peu plus, je t'attends.

Pour Toi tous les jours un peu plus, je patiente.

 

Je sais bien, tu te prépare, tu te fais beau,

Tu ne veux pas arriver tout fripé

Et tout négligé, comme les coquelicots,

Tu veux paraître à mes yeux, bien pomponné.

 

J'aimerai quand même bien voir, le bout de ton nez.

Tu t'habilles d'une peau douce, veloutée,

et tu maquilles ton regard de tendresse.

Tu mets dans tes mains d'innombrables caresses,

Dans ta voix un doux gazouillis,

Dans ta bouche, un mot : "Maman",

Sur tes lèvres des baisers infinis,

Et dans ton cœur un amour grandissant.

 

Mais hélas ! Il te faut neuf mois

Pour préparer ta vie en moi.

Comment seras-tu ? Fille ou garçon,

Au teint mat ou clair, brun ou blond.

 

Je t'imagine plus tard, permets-moi de rêver,

Un beau garçon que l'on voudra aimer;

Grand comme sa Maman,

Brun comme son Papa,

Avec les yeux bleus de sa Maman,

Avec les bras forts de son Papa,

La tendresse de sa Maman,

La grande volonté de son Papa.

Enfin un homme, fin prêt dans la vie

Pour fonder foyer et aimer les siens.

Un homme déterminé mais gentil,

Qui ne cherchera que le bien.

 

30 janvier 1972                                     Tonanti Simon

Copyrigt ©  1972 - Tonanti-Simon "Rêveries" - Tous droits réservés

 

Aujourd'hui, j'ai aidé mon chéri

Hier, il avait tondu le terrain et ce matin avait rassemblé l'herbe en sillons.

Oh ! je n'ai pas fais grand chose avec mon pied blessé, mais il avait attelé notre petite remorque à la tondeuse auto-portée, et tranquillement assise sur l'engin, j'ai parcouru les allées ainsi faites, afin qu'il ramasse le tout. Dès que c'était plein, on le vidait au tas de compost.

Bien sur il m'avait interdit de descendre de mon siège,mais ce petit rien lui a permis de ramasser l'herbe bien plus vite. Après une bonne heure de travail, j'ai été récompensée par un bon café.

Les trous et les bosses du terrain, assise sur les noyaux de pèches de l'engin, dur, dur, ...

Enfin je suis contente et lui aussi

 

À DEMAIN

 

 

Aujourd'hui je viens de prendre une grande claque.

Je ne comprends pas pourquoi le monde est si violent

Un simple mot, un acquiescement à une blogueuse que j'ai vu en colère et à qui j'ai voulu faire comprendre qu'il fallait, (comme disait mon papa) "laisser pisser le mérinos", a déclenché de la méfiance, du doute, de l'énervement, bref une réaction que je considère puérile.

Mais qui hélas m'a démontée parce que j'ai été atteinte sur ma messagerie personnelle, que je croyais protégée de toute intrusion et réservée à ma famille seulement.

Pour quoi ?  Et comment ?

Bref, je ne vais pas épiloguer, je ne veux de mal à personne, je veux vivre sans contrainte , sans peur du lendemain, sans tracasserie.  J'ai eu mon lot de problème plus ou moins gros et aujourd'hui j'aspire à la sérénité.

Si des blogueuses ne sont pas d'accord avec mes propos, je ne leurs permets pas de me mordre, qu'elles me zappent tout simplement. Les guérillas je les fuis comme la peste.

Les autres seront toujours les bienvenues sur mes pages, et j'aurais le plus grand plaisir de les accueillir et de leur rendre visite.

Merci  à celles qui ont séché mes larmes en me faisant rire

 

 

Voici l'instrument de torture enlevé.

Oufff ! ! !  ça fait un poids en moins sur la jambe. Ces plâtre en résines sont bien plus léger que les bons vieux plâtres, mais ça pèse quand  même.

 

Me voici donc affublée d'une splendide chaussure orthopédique, durant quelques jours, elle est destinée à amortir le pas, je dois réapprendre à marcher gentiment.

20 scéances de kyné ont été adjointe à la rééducation.

 

 

 

En revanche l'examen a été quelque peu bâclé. Quand , j'ai demandé au chirurgien s'il ne faisait pas une échographie de contrôle, il m'a répondu qu'après 4 semaines d'immobilisation, il supposait que tout était soudé, donc revenu à la normale.

Oui, "supposé", mon mari a immédiatement relevé la chose, le toubib  à bien répété, "oui, je suppose, la médecine ,n'est pas une science exacte ..."

Un peu léger je trouve...

Mais bon ! À moi de ne pas retomber, les  trous et les tranchées me sont interdites, il va falloir que mon chéri aplanisse les chemins que je prendrais. Attention, sa majesté passe par là ... MDR

Bisous à toutes

Tit'Anik

Souvent mon esprit erre dans le vague,

Occupé à, je ne sais quoi, ici ou là,

Laissant rêver  mon âme vers d’autres horizons.

Imagination qui navigue vers le large

Tu me prends, me rejette tel un ressac.

Utopie, apparence trompeuse, frêle embarcation,

Dans quels lieux, quelles contrées voyages-tu ?

Et vers quelles destinations m’entraînes-tu ?

 

29 VIII 2002                                                        A.T.B.

 

Copyrigt ©  2002 - Tonanti-Bacci "Rêveries" - Tous droits réservés

 

 

 

Bisous à toutes