• J'ai trouvé cette image chez tataflo, j'ai beaucoup aimé

    Je fais circuler moi aussi

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    Faites circuler à votre tour ...

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  • http://bullies.b.u.pic.centerblog.net/d682b6d4.gif

    Je suis assez fatiguée en ce moment, du mal à récupérer, du mal à me concentrer, plus goût à rien, je tourne en rond ...


    Bref, je fais une pause du coté de Perpignan chez Maman. Un peu d'embruns,  d'air iodé, de soleil et de dépaysement me feront le plus grand bien.


    Je vous reviendrais toute guillerette, Promis

    Bisous à toutes et tous

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  • Consigne proposée cette semaine par Du Mobilhome : COMMUNAUTE CROQUEURS DE MOTS

    Ecrire un dialogue de théâtre (à deux personnages, ou plus si vous voulez) construit sur ... rien. Un dialogue de sourds, ou un dialogue absurde, qui n'a ni queue ni tête, et qui ne tiendra que par sa structure.

    Ceux que la forme du théâtre n'inspire pas pourront choisir un écrit romancé, mais il doit quand même y avoir un dialogue. Amusez-vous !

    Postez votre texte pour  Lundi 23 août à 8 heures (programmez)

     

    Dialogue de sourds

     

    L'enfant : Regarde  maman ! Un bébé singe !

    Le singe : Qu'est-ce qu'il a celui là, il veut ma photo …

    L'enfant : Maman ! Le grand singe à coté, c'est sa maman ?

    Le singe : Qu'est-ce qu'il dit, il parle en quelle langue …

    L'enfant : Maman ! Le bébé, il cherche quoi sur maman ?

    Le singe : Si tu crois que je vais te donner un pou, tu te mets le doigts dans l'œil …

    L'enfant : Maman ! L'autre singe là bas, c'est son Papa ?

    Le singe : Il a pas bientôt fini de nous montrer du doigt …

    L'enfant : Qu'est-ce qu'il fait le bébé, il tête sa maman ?

    Le singe : Je bois un p'tit coup et je saute dans l'arbre …

    La maman : Tu viens mon chéri ! On va voir les lions !

    Le singe : C'est ça cassez-vous, mais avant je fais les poches …

    Le papa : Pas gonflé celui-là, il m'a volé mes lunettes de soleil !

    Le singe : c'est quoi ce truc, on n'y voit rien dedans …

    L'enfant : Ouhin ! Maman ! Il a pris mes gâteaux !

    Le singe : C'est bon çà, c'est tout ce qu'il a laissé …

    Le papa : Oh le plouc ! Il m'a piqué mes clopes !

    Le singe : C'est quoi c'te cochonnerie, c'est même pas comestible ça ! beurk …

    L'enfant : Papa ! Regarde les singes, ils font comme toi avec Maman …

     

    19 août 2010                                                                                                                  atb-d

     Copyright ©  2010 - Dugourd-Tonanti - "Mirages" - Tous droits réservés

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  • Comme je vous l'ai dit, j'ai décidé de reprendre les anciens défis pour m'amuser, bel exercice pour moi.

    Donc, Pour la semaine du 21 au 27 Septembre 2009, était lancé le défit n° 4
    Voici les "Mots de Tête" n°4 par Brunô

    "Itinéraire" "Tu prends la première rue à droite........."
    A partir de ce début de phrase laissez-vous guider, l'inspiration vous emmènera, au fil de l'écriture, à la découverte de votre itinéraire.......

      Autour des mots, utilisez toutes les formes d'expression prose, prose poétique ou poésie, en prose, en vers libres ou rimés ...

     

     

    Itinéraire

     

    Tu prends la première à droite, ...

    Au coin un énorme mimosa croule sous ses fleurs

    Tu suis durant deux cents mètres cette rue étroite

    Jusqu'au fond, à destination d'un saule en pleurs.

     

    Tu tournes à ta gauche pour sortir du petit village

    Après quelques pas tu découvriras un petit chemin

    Où les arbrisseaux t'offriront leurs gracieux ramages

    Goûte au plaisir éphémère des buissons de jasmin

     

    Tu vas par la suite, longer un joli petit ruisseau

    Son courant tranquille te guidera un moment,

    Un instant de fraicheur avec le clapotis de l'eau

    Profite de ce calme offert, pas prends ton temps

     

    Ce délicieux chemin qui sent bon la noisette,

    Te laissera paisible, et l'âme guillerette

    Enfin derrière une haie d'arbres à papillons

    Bien dissimulée, tu trouveras notre maison.

     

    20 aoùt 2010                                                            atb-d

    Copyright ©  2010 - Dugourd-Tonanti - "Mirages" - Tous droits réservés


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  • Pour " le samedi en musique", je vous propose de nous faire découvrir votre première belle chanson d'amour qui a marqué votre vie et qui vous a fait tourné la tête... Donc pas d'auteur exigé, vous avez tout le loisir de nous offrir celle que vous aimer. Alors vite à vos souvenirs...

     

    Henri Salvador - Une Chanson Douce

    http://www.vinylmaniaque.com/pochettes1/henri-salvador.jpg


    Une chanson douce
    Que me chantait ma maman,
    En suçant mon pouce
    J'écoutais en m'endormant.
    Cette chanson douce,
    Je veux la chanter pour toi
    Car ta peau est douce
    Comme la mousse des bois.

    La petite biche est aux abois.
    Dans le bois, se cache le loup,
    Ouh, ouh, ouh ouh !
    Mais le brave chevalier passa.
    Il prit la biche dans ses bras.
    La, la, la, la.

    La petite biche,
    Ce sera toi, si tu veux.
    Le loup, on s'en fiche.
    Contre lui, nous serons deux.
    Une chanson douce
    Que me chantait ma maman,
    Une chanson douce
    Pour tous les petits enfants.

    O le joli conte que voilà ,
    La biche, en femme, se changea,
    La, la, la, la
    Et dans les bras du beau chevalier,
    Belle princesse elle est restée,
    eh, eh, eh, eh

    La jolie princesse
    Avait tes jolis cheveux,
    La même caresse
    Se lit au fond de tes yeux.
    Cette chanson douce
    Je veux la chanter aussi,
    Pour toi, ô ma douce,
    Jusqu'à  la fin de ma vie,
    Jusqu'à  la fin de ma vie.

    (Variante pour les 2 derniers)

    O le joli conte que voilà ,
    La biche, en femme, se changea,
    La, la, la, la
    Et dans les bras du beau chevalier,
    Belle princesse elle est restée,
    A tout jamais

    Une chanson douce
    Que me chantait ma maman,
    En suçant mon pouce
    J'écoutais en m'endormant.
    Cette chanson douce
    Je veux la chanter aussi,
    Pour toi, ô ma douce,
    Jusqu'à  la fin de ma vie,
    Jusqu'à  la fin de ma vie.
    <a href="http://www.paroles2chansons.com" title="Paroles de chansons">Paroles de chansons</a>

    BIOGRAPHIE :
    Henri Gabriel Salvador est né le 18 juillet 1917 à Sinnamary en Guyane. En 1924 la famille Salvador s'installe à Paris. En 1933, Henri découvre la musique : un cousin lui fait écouter Louis Armstrong et Duke Ellington : c'est une véritable révélation. Le métier d'avocat ou de médecin que son père lui voulait voir apprendre s'en va définitivement allés aux oubliettes. Cette même année 1933, il obtient sa première guitare et passe des heures à apprendre.
    A force de travail, il décroche son premier contrat professionnel dans un orchestre et participe à la création d'un quartette de jazz pour l'ouverture du Jimmy's Bar.

    Au moment où il s'apprête à devenir un vrai professionnel, la deuxième guerre mondiale éclate. Il est mobilisé en 1939 puis démobilisé grâce à de faux papiers en 1940. Henri passe alors en zone libre.
    Il joue dans diverses formations et fini par être repéré par le chef d'orchestre le plus à la mode à cette époque : Raymond (Ray) Ventura. Il tournera en France avec lui et son orchestre "Les Collégiens", puis partira en tournée en Amérique du Sud. En 1944-1945, Henri débute même une carrière en solo au Brésil.
    1945 marque son retour en France. Il continue de tourner dans toute l'Europe avec les collégiens et parallèlement enregistre ses premiers disques solo chez Polydor (Maladie d'amour - Clopin clopant).
    1950 est l'année du grand événement de sa vie. Alors qu'il joue à l'ABC Paris s'amuse, Henri remarque au premier rang une ravissante femme habillée tout de blanc. Elle est là tous les soirs mais ne se décide pas à venir frapper à la porte de sa loge... En désespoir de cause, il s'accoquine avec le portier pour qu'il l'amène à sa prochaine apparition. Conduite manu militari jusqu'à la loge de l'artiste, ils n'allaient plus se quitter une minute. Henri et Jacqueline Garabedian se marient quelques semaines plus tard, le 24 janvier 1950. Le destin venait de mettre près de lui une compagne qui sera à la fois sa femme, son "homme" d'affaires, son directeur artistique, son impresario, le P.D.G. de sa maison de disques.
    Salvador, celui dont le rire vous rend heureux, va travailler pendant plus de vingt ans avec des pointures: Maurice Chevalier, Boris Vian avec qui il écrira plus de 400 chansons ou même Quincy Jones, le géant américain. Henri excelle sur scène, à la télé, à la radio...composant aussi pour Walt Disney, Blanche Neige et les sept nains, Les Aristochats.
    En 1976, Jacqueline décède, commence alors une longue période durant laquelle Henri travail plus pour conserver ses fans que pour en acquérir de nouveau. Mais le 13 février 1996, lors des Victoires de la Musique, Henri SALVADOR reçoit un prix d'honneur spécial pour l'ensemble de sa carrière. C'est le grand retour de l'homme en blanc sur le devant de la scène. Grand retour qui se confirme avec le succès de son album "Chambre Avec Vue", un nouvel opus époustouflant. Il gagne une Victoire de la Musique pour sa tournée en 2002. En 2006, Henri Salvador est partit enregistrer son nouvel album "Révérence" au Brésil. Plus crooner que jamais, le papy de la chanson française nous livre toute l'étendue de son talent. Le titre de cet album annonce la dernière tournée de Monsieur Henri qui tire sa révérence à la scène le 21 décembre 2007. Le 13 février 2008, Henri Salvador tire définitivement sa révérence suite à une rupture d'anévrisme. Avec sa mort, la France perd un monument de la chanson et un ambassadeur hors pair. Au revoir Monsieur Salvador. 

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  • Vos courriers

    Mamazerty > 2 magifigues cartes  de son coin : l'ile d'Teu et l'ile de Noirmoutier

    img061.jpgTataflo : Promenade dans l'Ain, département limitrophe de chez elle 74

    img062.jpg

    Sophie et Xavier : Le jour de leur mariage

    img063.jpg

     

     

     

    merci à toutes de votre amitié

    Gros Bisoussss

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  • Livre relié GRAMY

    Amitié !

     

    En cette vie parfois, des âmes sont si belles

    Que de leurs êtres exquis  émane la beauté

    C'est un reflet d'amour qui se dégage d'elles

    Et dans leur doux visage se lit tant de bonté

     

    Vous êtes celle-ci, chère  Madame Boislève

    Et nos sœur vous le disent à l'unanimité

    Travailler avec vous était pour nous le rêve

    Que nous voyons finir, triste réalité

     

    Nous vaquerons dès lors, cherchant votre présence

    Espérant vous revoir au détour du chemin

    Nous nous croirons privées d'une très courte absence

    En pensant au retour qui aura lieu demain

     

    Nous tromperons ainsi ce départ qui nous navre

    Que nous ne voulons croire non plus définitif

    Et nous vous souhaitons dans votre nouvel havre

    De trouver des compagnes au cœur compréhensif

     

    Ce modeste cadeau vous prouvera quand même

    Combien vous nous étiez précieuse à tous ici

    Et s'il faut vous le dire, alors, que l'on vous aime

    Regardez dans nos yeux, la larme qui s'enfuit

     

    Saint-Denis, 28 octobre 1948                              H.C.Gentes

    Copyright ©  1948 - H.C Gentès - "Chez Nous" - Tous droits réservés

     

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  • http://bullies.b.u.pic.centerblog.net/17bf3976.gif

    Comme toutes les semaines, un après midi, cuisine

    Vite, vite, faire quelque chose du cageot de fruits et légumes reçu. Aujourd'hui 2 cageots

    Alors piperade, confitures de banane, de melon, de potimaron, et gelée de raisin. Du travail à la chaîne, pendant que ça cuisait d'un coté j'épluchais de l'autre et ainsi de suite, la fourmi est en action et prépare son hiver ...


    Samedi j'ai préparé des gratin de courgettes, prêt à cuire:

    Dans une barquette congélation/cuisson, un lit de courgettes en rondelles (attention, ne faites pas comme moi, n'y mettez pas votre doigt, ça fait mal et ça saigne beaucoup), une poignée de riz cru, un peu de saucisse, (ou lardon, ou jambon blanc, boudin, reste de viande de la veille), un petit peu de fromage râpé, un autre lit de courgette, et une bonne dose de fromage râpé pour le coté croustillant. au moment d'enfourner, ajouter un petit verre d'eau. Pour la cuisson, au pif environ 30 minutes, plantez le couteau.

    Serviez chaud et régalez vous

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