-
Vous vous souvenez de ce parcours que j'avais brodé sur toile, un petit mémo de notre voyage. Vous avez donné des idées quand au devenir de ce petit bout de tissu, sans pour autant vous approcher de la solution.
*
Vous vous souvenez aussi de cette fameuse journée du 27 novembre 2016 et du cadeau que j'ai reçu lors de ma nomination de "Mafeun" auprès de la famille qui nous avais accueillis à bras ouverts.mmmm
*
Et bien, comme vous le voyez, c'était l'empiècement d'une robe. Rendez-vous compte, j'ai osé mettre de la couleur, autre que du blanc et du bleu. Mais je voulais faire plaisir à cette famille si généreuse.
*
J'ai fais une petite erreur dans ma coupe, c'est Pat qui me l'a fait remarquer, je n'ai pas centré les motif du tissu. C'est vrai que cela aurait été mieux, mais j'ai taillé sans vraiment penser à cela. Le tissu étant court, j'ai dû rallonger avec un petit volant.
Lors de sa venue, Robert, notre guide Camerounais, a été très touché de cette attention, et je suis ravie de lui avoir fait plaisir.
Une petite robe d'été très très "Pétard"
J'aime bien sa forme et un peu de fantaisie, pourquoi pas, avec le temps je m'y ferais, après tout c'est un superbe souvenir de "là-bas".
6 commentaires -
Tous les 10 ans, d'anciens copains se retrouvent pour passer une bonne soirée ensemble.
Au moment de fêter leurs 40 ans , ils se retrouvent et se demandent où passer cette soirée.
Au début ils n'arrivent pas à se mettre d' accord sur le lieu mais l'un d'eux propose :
"Allons au restaurant « Chez Pilou », la serveuse est vraiment jolie et porte toujours un chemisier avec un décolleté bien plongeant. "Aussitôt dit, aussitôt fait.
10 ans plus tard, pour leurs 50 ans , ils se retrouvent à nouveau et se demandent où passer la soirée mais l'un d'eux propose :
"Allons au restaurant « Chez Pilou », on y mange très bien et la carte des vins est excellente ."Aussitôt dit, aussitôt fait.
10 ans plus tard, quand ils fêtent leurs 60 ans , ils se retrouvent à nouveau et se demandent comme d'habitude où passer la soirée et l'un d'eux propose:
"Allons au restaurant « Chez Pilou», c'est calme et non-fumeur ."Aussitôt dit, aussitôt fait.
10 ans plus tard, pour leurs 70 ans donc, ils se retrouvent et se demandent où passer la soirée et l'un d'eux propose :
"Allons au restaurant « Chez Pilou », c'est bien adapté aux fauteuils roulants et il y a un ascenseur."Aussitôt dit, aussitôt fait.
Dernièrement, ils fêtaient leurs 80 ans et se demandaient où aller. L'un d'eux proposa :
"Allons au restaurant « Chez Pilou ».
Et tous de répliquer : -
" Bonne idée, nous n'y sommes jamais allés !"Ne riez pas, c'est peut-être nous bientôt
Mince je ne sais plus où il est ce resto
2 commentaires -
29 novembre – sixième jour de notre aventure (3/7)
Nous arrivons sur le site de la "Lobé". Nous allons voir les chutes. Nous entrons sur le site en longeant le restaurant, mais que mange-t-on, ici ?
Face à nous un petit bras de terre, en fait les chutes ont fait un chenal en forme de fer à cheval en quelque sorte. Ce bras de terre est habité en saison sèche par les pêcheurs. En saison des pluies il arrive que ce bras de terre soit inondé. D'abord, on commande le repas.
J'ai bien aimé, le sanitaire mis à disposition. C'est la pancarte qui m'a fait rire. <Douche - Toilete>
Non ! Je n'ai pas fait de faute c'est écrit ainsi, même pas de l'anglais.
Un dernier regard vers le 4*4, qu'Étienne devra garder. En fait, il n'est seulement chauffeur, mais gardien, responsable du véhicule.
Puis le guide nous explique, comme l'accès est assez difficile pour moi, on nous emmènera, Euh ! En pirogue ! Oups !
On me place devant, aux premières loges.
Je dois avouer que je ne suis pas très rassurée.
Pas simple d'escalader les planches qui nous serviront de dossier, le banc est juste en dessous. On est vraiment assis au fond.
Je suis toute petite sur le second cliché.
Derrière moi, s'installeront, cote à cote, Pat et Robert, et notre pagayeur est en queue.
2 commentaires -
Pour continuer dans la foulée des petits travaux de salle d'attente, comme les chaussettes turquoises ou les chaussettes de bagnards.
Si j'ai les pieds froids je ne peux m'endormir, c'est fou, alors je continue ma collection de chaussettes de lit.
Un peu moins moches,
c'est cette bande de gris et de blanc qui me dérange, mais là il n'y en a moins cette fois ci.
*
Et voilà la fille aux pieds gelés, est parée pour faire un bon gros dodo...
Un petit point tout simple d'une maille qui fait des zig-zag entre les colonnes de 4 mailles.
*
J'ai d'autres pelotes, alors je continue...
À suivre, à bientôt
4 commentaires -
Mes nouveaux yeux sont une merveille, je peux lire une lettre sur une table sans lunettes. En revanche pour la vision de près, il me faut une petite correction de 2,75. Mes nouvelles lunettes sont commandées, je les attendant. Je vais bientôt reprendre mes chaumines et les terminer. Cependant, ne pouvant rester les mains inactives, je fais des petites choses et du tricot...
Mais revenons au sujet de mon billet.
En me servant de certains modèles africains d'une précédente broderie, j'ai imaginé autre chose.
Sur un reste de toile aïda 5.5 au coeurs bleus, qui m'avait servi à réaliser mon tableau de "Mères en Filles", j'ai brodé ces symboles.
*
Et puis un second morceau, une sorte de vis-à-vis en miroir avec un centimètre de plus à sa droite.
*
Les deux morceaux réunis
Quand à la finition, je suis sur le point de la terminer, vous devrez attendre un petit peu...
9 commentaires -
Un dimanche très ensoleillé
Le lendemain, nouveau pique nique au Lac de Saint Ferréol, avec nos amis, le "parrain et la marraine" d'Elfy, hi, hi, et leur fille ....
Petite promenade sur les berges du lac. Le lac est situé dans la montagne Noire. Un barrage sur un verrou rocheux permet de retenir les eaux du lac. Ce barrage a été construit par Pierre-Paul Riquet entre 1667 et 1672 dans le but d'alimenter le canal du Midi. Pour en savoir plus c'est ici.
Coucou ! Vous me voyez ?
Elfy ! Va chercher le caillou ! Bon il a fallu forcer un peu pour qu'elle se mouille les pattes et surtout boivent un peu, il faisait assez chaud.
Des visiteurs à l’affût de quelques miettes jetées pas les promeneurs.
Du haut de la cabane des sauveteurs, Robert admire le paysage.
Nous sommes descendu jusqu'à la cascade et le jet d'eau.
Oui mais ! Il a fallu remonter, pas facile pour moi et Pat tire la jambe. Robert se voit confié nos clés et avec notre ami, ils sont partis chercher les voitures. On se retrouvera tous devant une bonne glace.
Le volume de la retenue du lac de St Ferréol se révèle insuffisant. Après sa tournée d'inspection en 1685, Vauban décide de creuser la percée des Cammazes et de surélever le barrage pour créer une réserve d'eau. Plus ici. Le barrage des Cammazes (81)
C'est beau, mais il ne faut pas regarder en bas, brrr, ça donne le vertige.
De l'autre coté, l'eau est traité et fourni en eau potable 200 communes, elle alimente également les cultures et contribue à l'alimentation du canal du midi.
Le soir tombe et nous rentrons tous à la maison, on finira les restes de midi avant de se séparer. Il est tard, ou tôt devrais-je dire... Mais on va dormir un peu ...
Demain, enfin tout à l'heure, levé 5 heures, nous amenons Robert à son lieu de départ. Et oui, ça a été très court, trop court ... On remet ça bientôt...
En revenant à la maison, Pat et moi nous sommes recouchés, j'ai émergé à midi ... Ces 4 jours intenses m'ont lessivés, j'ai eu un peu de mal a me requinquer. Mais que de bonheur ...
4 commentaires -
En novembre 2016, au Cameroun, Robert notre guide nous faisait parcourir le pays pour notre plus grand plaisir.
Ces jours-ci, nous avons inversé les rôles, Robert est venu passer quelques jours chez nous.
Sur notre bateau-jardinière, Pat avait monté les couleurs, Robert en a été très touché.
Nous l'avons emmené à Superbagnères, 2000m d'altitude, station de ski sur les hauteurs de Luchon (31)
Robert a admiré le site, le toit des cimes enneigés, il s'est émerveillé.
Bon d'accord, il n'y avait plus de neige à cette altitude et la station est fermée (pour le ski), elle ouvrira un peu plus tard pour les activités d'été. Néanmoins le point de vue est sublime.
Il faisait froid et j'ai remis ma veste polaire. Nous avons fait le tour de l’hôtel, ancien et nouveau. Derrière l’hôtel étaient rangés en rand d'oignon 2 dameuses et un chasse neige, quoique tout trois pouvaient être transformés en fonction des besoins, les éléments étaient rangés à coté, 3 bons gros engins. Nous avons approchés les remontés et les télésièges.
Robert parcourait au pas de courses le site, suivi d'Elfy qui le suivait partout, la coquine avait lié amitié avec lui.
Petit pique-nique, pissaladière, salade de pâtes et gâteau à l'ananas.
Le lendemain, nous avons réuni la famille, Robert en tenue traditionnelle, a conversé naturellement avec tous, tout heureux de rencontrer mes enfants. Le repas s'et terminé par un toast ou Robert remerciait chaleureusement, notre famille et le Seigneur qui avait béni cette rencontre. Ma fille aînée a remercié cet homme qui avait exaucé le rêve de sa mère. Moi, j'ai essayé de dire quelque chose, mais l'émotion était trop forte et j'ai fondu en larmes, des larmes de joie, un grand bonheur.
Si, avant le repas, Max, mon petit dernier, avait voulu jouer avec notre tondeuse auto-portée et tondu tout l'arrière de la maison, après le repas, il a décidé de nettoyer le bassin à poisson, nous avons beaucoup rit, les gags ont jalonné cette journée.
Robert était ravi de cette réunion a laquelle, il a participé, un vrai courant est passé entre tous.
Ah ! j'oubliais, la bonne nouvelle, Max et Mad attendent un heureux événement, ce sera pour Novembre. Je vais être grand-mère, hi, hi,...
J'ai encore à vous raconter, à demain ...
6 commentaires -
29 novembre – sixième jour de notre aventure (2/7)
Notre petit copain, nous aurait il suivi ? Ils ne sont vraiment pas farouches. On peut s'approcher très près, mais pas trop tout de même,
Des plages,
d'autres aménagées jalonne la route, me donnant une sauvage envie de me baigner.
Encore une plage qui me tend les bras, et avec une barque de surcroît pour se balader sur l'eau.
Mais on voudrait aller au port de Kribi, Robert nous dit que c'est curieux à voir.
Bon ! En ce qui concerne le port, l'entrée est sévèrement gardée et il nous est impossible de nous y rendre. Interdit, par mesure de sécurité. On ne sait jamais je pourrais mettre un cargo dans ma valise. Je plaisante, mais la mesure d'interdiction est draconienne, à cause d'éventuels attentats. Et qui sait, je suis peut-être une terroriste …
Sur le retour, je prends tout, et n'importe quoi, des bambous, déjà vu … ça pousse comme des champignons. En fait ils ont été importés au moment des voyages des grands explorateurs. Le climat leur a plu et ils prolifèrent en Afrique équatoriale.
Une cabane de bois … dont le toit est en feuilles de palme
Il existe plusieurs formes de "feuilles" de palmier, celles qui nous intéressent ici, ce sont les pennées, en forme de plumes ou de peigne. On retrouve cette forme sur le cocotier entre autres.
Tient ! Bonjour Étienne ! Comment vas-tu ?
Je suis un peu déçue. Mais …
2 commentaires