MES PETITES CROIX

Cette année a été entièrement consacrée à ma couverture "Chaumines et boules de plumes"

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EN "TRICOTINAGE"

Une écharpe tube, terminée dans les toutes dernières heures de 2015.

 Pas un mais deux, petits chales "Holden" pour mes filles

Rêve d'Oiseau (dreambird), Commencé en mai 2014,, il est finalisé en janvier 2016

Shéhérazade danse pour moi, commencé en février et terminé en mars 2016

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Des petites fleurs sur mes épaules

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Le châle modulaire

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L'Écharpe Arc-en-ciel

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EN "COUTURE" 

Un SAC à sacs (modèle issu de mon agenda) : Réalisé dans la dernière semaine de mars

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 Cahier de notes en avril               Carnet de voyage en juin

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 Des blouses à tout faire, intense décontraction en juillet

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Une robe en broderie anglaise et une tunique toujours en broderier anglaise réalisées en juillet

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Un sac à langer pour EMMA mon arrière-petite-fille

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 Une Tuni-robe en dentelle

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Un sac à ouvrages

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Le livre d'Or, pour mes "Enfants Africains"

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CARTERIE

Un bateau, issu de mon agenda, Parti chez Danie33 

Ce que j'ai laissé "EN RADE", 

Pas le temps

Plus envie

ou encore, un craquage plus attrayant

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1 -Un coupon pour une nappe : Sagittaire. Je l'ai commencé en mars 2014,

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2 - Mon pull à vagues, Mis en oeuvre en Mai 2014, 

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3 - Une envie, un essai ... En juin 2015, 

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4 - "SACCAGE" ce Carnet, Il est arrivé en juillet 2015, 

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5 - La couverture de Mac Giver, Démarré fin août 2015,

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6 - Quel heure est-il, Madame Cécile ... J'ai reçu l'horloge en août 2015, 

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7 - Casier aux oiseaux,  Une envie de longue date qui attendait la toile en août 2015, 

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08 - Tiroir pour mon armoire

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09 - Avis aux usagers (à encadrer)

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11 - Chaumines et boules de plumes : 26 à 30

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12 - La couverture "Sophie's Universe" au crochet, mon mandala

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FIN

Article programmé

23 novembre – Premier jour de notre aventure

3 heures du matin, nous sommes prêts, on vient nous chercher.

Pour ne pas avoir de frais supplémentaires, José, notre ami, nous accompagnera à l'aéroport, et pour plus de commodités nous prenons notre voiture, que nous avons chargée la veille, et nous la confirons à notre ami. Il reviendra nous chercher à notre retour (ou pas dit-il en plaisantant).

J'avais tellement peur de n'être pas à l'heure, que j'ai donné aux hommes l'heure de départ, en omettant les minutes, soit 55 minutes de battement. Ah ça ! Nous étions à l'heure ! Hi ! Hi !...

De la maison à l'aéroport de Toulouse-Blagnac, nous ne mettrons que 40 minutes, à cette heure ci nous n'avons rencontré aucun problème pour parcourir les 72 kilomètres, ce qui ne fut pas le cas pour retour de José vers la maison

Nous nous faisons enregistrer. Ayant demandé une assistance sanitaire, nous avons été pris en charge rapidement et installés les premiers dans l'avion.

6 heures 55, les premiers tremblements de l'avion se font ressentir, on décolle. Je serre les fesses mais ça se passe bien. Au moment des premières manœuvres en vue de l'atterrissage, je ressens une violente douleur aux tympans, pourtant j'avais mis des bouchons spéciaux, mais cela n'a eu aucun effet, la douleur est trop forte. Enfin on se pose, il est 8 h 45, soit 1 heure 50 pour environ 900 kilomètres.

On nous emmène proche du second embarquement en nous recommandant d'attendre là, on viendra nous chercher. Le prochain départ est à 10 heures 45, l'attente est longue. En principe selon les accords passés, nous devons être enregistrés et installés les premiers.

Une heure avant l'embarquement, nous voyons le flot des passagers s'accumuler et passer vers l'avion, mais, mais, … nous sommes toujours à l'écart ? ? Pat fait des allers et venues entre le poste d'embarquement et le lieu où l'on doit attendre, toujours la même réponse, "on va venir". Mais on ne vient pas. Le flot s'étiole et nous sommes toujours là. Je panique, Pat décide de nous faire passer, l'assistance sanitaire nous a oublié, bravo Bruxelles ! Arrivés dans l'avion, nous devons nous "démerder" pour chercher notre place. Des couloirs bondés, avec mes cannes, je dois me faufiler, je suis même renversée par une "baleine" qui ne s'est même pas excusée. Encore encombré par nos deux bagages à main, Pat aura toutes les peines du monde pour me relever et personne ne nous aidera, pas même une hôtesse. Bien entendu comme tout le monde est pratiquement installé il n'y a plus de place dans les coffres pour nos bagages que nous devrons garder avec nous … Nous essayons de communiquer, mais serons ignorés. Décollage et vol sans problème, il y a tant de monde que les hôtesses et stewards sont débordés, sauf pour vendre leurs articles de la boutique du bord… Nous tenterons de regarder une vidéo, mais sans les écouteurs ceux–ci ont été kidnappés par des passagers indélicats. Aucun confort, nous ne pouvons étendre nos jambes, tu peux brandir ta carte d'handicapés, on s'en fout. Nous sommes vraiment déçus par cette compagnie "Brussels Airlines". Trajet Bruxelles -> Douala  environ 7 heures de vol pour 7220 kilomètres, nous suivrons sur l'écran l'évolution de notre vol tout au long du voyage.

Dès que l'avion a commencé la décélération en vue de l'atterrissage mes douleurs aux tympans ont repris de plus belle, vraiment insupportable j'ai cru que ma tête allait exploser

17 heures 54 atterrissage à Douala. C'est complètement ivre que je descends de l'avion, par l'échelle et sans aide.  Le fauteuil n'est pas en bas, je suis crevée et je ne me sens pas de parcourir les dédales pour arriver à la sortie. J'attendrais debout mon carrosse. Enfin il est là. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises, nous devrons emprunter des escaliers, 2 étages bien raides, sans aide si ce n'est mes cannes et mon courage. Pat fulmine. Douala est encore à l'âge de pierre.

Enfin nous passons les contrôles draconiens et les diverses portes. Après une attente interminable de notre bagage, nous sommes dirigés vers le hall de sortie, je cherche notre Agent touristique, mais ne le vois pas, je panique. Enfin le voilà ! Mais il faut encore qu'il puisse approcher son véhicule, c'est le "bordel" le plus complet. Il y a un petit moment que la nuit est tombée (18h00). Le trajet jusqu'à l'hôtel est décevant, je découvre une ville figée depuis les années 60, des bâtiments en construction abandonnés en grand nombre, noirs de pollution, des poubelles jonchent les bords des trottoirs, des motos (250m³) comme s'il en pleuvait, parfois à 4 ou 5 personnes dessus, oui, oui, c'est courant là-bas, ce sont en majorité des motos-taxis, et une circulation déplorable. En fait nous apprendrons plus tard que notre permis, là bas, il vaut mieux l'oublier, acheter un gros 4*4, y ajouter des énormes pare-chocs et un avertisseur puissant, c'est le plus gros qui fait le plus de bruit qui passe. Un danger en permanence. Ahurissant.

Installés dans notre premier hôtel, nous sortons diner. Robert notre guide, avec lequel durant les 6 derniers mois nous avons sympathisé, nous invite chez lui. Durant le trajet, il me demande ce que je pense de Douala ? J'ose à peine répondre, "je suis déçue", et il me répond, "je te comprends, je suis entièrement d'accord". Un accueil chaleureux nous  attend chez lui. Au dîner nous goûterons, des énormes poissons locaux qui tenaient à peine dans l'assiette, chacun le sien, accompagnés de manioc (tubercules qui se cuisine comme de pataes bouillis) et de bananes plantain rôties, des parts plus que généreuses, un vrai régal. Nous terminerons par des fruits, ananas, papayes, juteux à souhait. Nous sommes gavés. Nous aurions fait partie de la famille que cela ne se serait pas déroulé autrement. Nous avons été choyés.

Cet accueil généreux et convivial, nous le retrouverons tout au long de notre séjour.

Nous n'avons même pas pris de photos ce soir là

Nous sommes épuisés, il est 22 heures 30, après de larges embrassades, Robert notre guide nous ramènent à l'hôtel. Je ne prendrais même pas de douche, je m'écroulerais sur le lit et ferais une nuit complète.

Une journée éprouvante, il y en aura d'autres, bonne nuit.

Bilan de notre journée, nous avons parcouru 8190 kms, ce constat est effrayant, sans compter les parcours vers les aéroports.

Je suis sur mon sol Natal.

Pour connaitre la suite, cliquez sur :  À SUIVRE ...

En jour ce réveillon de Noel, je voudrais vous offrir ces chants de Noel

Souvenirs d'enfance ! Les Noel étaient animés par les chants de mes deux oncles, et ma tante pianiste, et nous, les petits-enfants, préparions toujours une pièce de théâtre, que nous inventions de toute pièce (la creche, les princesses, les sujets ne manquaient pas, l'imagination des enfants ...). Des souvenirs merveilleux.

http://www.deezer.com/album/8483607

Peut-être, si vous suivez ce lien, pourrez-vous entendre le "Minuit chrétien" interprété par mon oncle. Je l'ai testé, le lien marche, mais il est vrai que je suis abonnée, alors ... je croise les doigts ...

Voici les paroles, pour suivre, si vous le désirez

Minuit ! Chrétiens, c'est l'heure solennelle
Où l'homme Dieu descendit jusqu'à  nous,
Pour effacer la tache originelle
Et de son père arrêter le courroux:
Le monde entier tressaille d'espérance
A cette nuit qui lui donne un sauveur
Peuple à genoux, attends ta délivrance
Noël ! Noël ! Voici le Rédempteur !
Noël ! Noël ! Voici le Rédempteur !

De notre foi que la lumière ardente
Nous guide tous au berceau de l'enfant
Comme autrefois, une étoile brillante
Y conduisit les chefs de l'Orient

Le Roi des Rois naît dans une humble crèche, 

Puissants du jour fiers de votre grandeur,
A votre orgueil c'est de là  qu'un Dieu prêche,
Courbez vos fronts devant le Rédempteur !
Courbez vos fronts devant le Rédempteur !

Le Rédempteur a brisé toute entrave,
La terre est libre et le ciel est ouvert
Il voit un frère où n'était qu'un esclave
L'amour unit ceux qu'enchaînait le fer,
Qui lui dira notre reconnaissance ?
C'est pour nous tous qu'il naît, qu'il souffre et meurt:
Peuple, debout ! chante ta délivrance,
Noël ! Noël ! chantons le Rédempteur !
Noël ! Noël ! chantons le Rédempteur !

Je souhaite vraiment que vous puissiez l'entendre

Je vous retrouve en janvier

Bonnes fêtes à tous

Je l'ai vu chez Mémé Christiane, elle disait alors :

"Ayant fait récemment de longs voyages en train, j'avais besoin d'un ouvrage sans prise de tête.

Que du point mousse, quelques augmentations et diminutions, des boutonnières, voilà le résultat"

J'ai immédiatement pensé aux 10 longues heures d'avion et interminables heures d'attente entre 2 vols (2+4)

 Il me restait 2 pelotes de mon chale arc-en-ciel

Donc, vite, vite, j'ai monté les premiers rangs de l'ouvrage, pour l'emporter dans mon voyage. Et bien, en fait, je n'y ai même pas touché. À l'aller, j'étais tellement anxieuse que j'ai discuté avec mon zhom, et puis nous avons suivi, l'évolution du trajet sur écran, c'est très curieux à observer, les lieux que nous avons survolés étaient tout petits et bien cartographié, la vue satellite était superbe. Au retour, j'ai réussi à dormir un peu et puis de nuit, le satellite ne prenait rien. Dans les salles d'attente, j'étais trop occupée à surveiller les allées et venues, on nous avait oubliés pour l'aller. Quand à mes visites, les journées étaient si remplie que je l'ai complètement oublié ...

De retour à la maison, je l'ai terminé très rapidement. C'est vrai qu'il est agréable à réaliser, ça va très vite. Bon ! Je n'aime pas le point mousse et avec cette laine cela faisait trop chiné. Donc j'ai fait un espèce de jersey que je contrariais tous les 4 rangs, ce qui donne ce gaufrage et là le dégradé se voit bien.

Et puis, arrivé au ¾ de l'ouvrage, je suis tombée en panne de laine, j'ai recommandé une pelote, et je me suis trompé de coloris. Tant pis j'ai fait avec. Au final, ce n'est pas vilain du tout.

Je dirais même que ce coloris me plait bien plus que le précédent, je me demande comment je suis passée à coté. Du coup, je me dis que ... ... un châle modulaire me fait un clin d’œil depuis quelques temps ... ... pourquoi pas ... ... on verra ... ...

À bientôt

Vous l'avez sans doute vu ICI chez "Hélène 2.3"

Hélène nous offre très souvent des tutos de châles bien sympathiques, elle en vend aussi de temps à autre quand sa malle déborde

http://img.over-blog-kiwi.com/600x450-ct/1/48/84/01/20150414/ob_9d4659_mardi-vac-3-008.jpg

J'ai craqué, et j'ai été plus rapide que vous, aussitôt vu, aussitôt réservé, hi, hi, ...

Voilà, après quelques kilomètres, il est arrivé, Merci Hélène

NON ! je ne coupe pas du bois, je suis allée déranger mon zhom en plein labeur, du petit bois pour allumer le poêle. Du coup, il m'a collé l'outil dans la main et m'a demandé de poser.

Meme en faisant semblant, le poids de la hachette fait toute seule son ouvrage, les deux morceaux ont volés de chaque cotés, à mon grand étonnement.

N'est-il pas joli ce petit chale, en coton, j'ai pensé à l'été, mais il est si léger, qu'on l'oubli, mais une fois dedans, j'ai eu trop chaud. Ben quoi ! Les trou-trous, ça tient chaud aussi.

Merci beaucoup Hélène, il me plait énormément

LES PRÉPARATIFS

Fin mars, première étape, les vaccinations. Il a fallu remettre à jour nos carnets de santé, (diphtérie, tétanos, polio, auxquels il fallait ajouter, l'hépatite A et B, enfin la fièvre jaune. Celle-ci ne se fera que plus tard, au moment le plus proche du départ.

11 avril, les demandes de passeports sont lancées, nous les recevrons le 25 de ce même mois.

Ensuite, attentes, les principales demandes sont lancées. Précisions sur les dernières recommandations. L'été va passer avec les congés administratifs.

13 septembre, la banque, les assurances, les moyens de paiements, les conversions de monnaie.

À partir de là, la seconde est passée.

13 septembre toujours, les billets d'avion et autres réservations.

19 septembre, notre rendez-vous en milieu hospitalier pour la vaccination de la fièvre jaune.

23 septembre, demandes de visas lancées, et "réservation-confirmation" ferme du séjour. À moins d'une grosse tuile, on ne peut plus reculer. Dans deux mois, c'est le "GRAND" départ !

Durant ces 6 mois de préparation, notre cagnotte "Voyage" continuais gentiment à grossir, ce qui nous a permis d'avoir un peu d'argent pour les faux frais sur place. D'autant que dans le prix du séjour, les repas de midi et soir n'étais pas inclus …

Ensuite il fallait préparer les bagages, une valise en soute + mon carrosse, je l'ai pris au cas où, sait-on jamais, restons prudent. Il fallait emporter une tenue pour chaque jour, nous allons faire un circuit, allant d'un hôtel à l'autre, pas question de faire une lessive dans le lavabo et enfermer du linge mouillé dans les bagages. Il fallait aussi embarquer les médicaments, vous savez "les au cas ou", qu'on est bien content d'avoir sous la main si nécessaire, mais qui manquerait cruellement en cas de besoin et la liste des "au cas ou", est longue. Prévoir aussi les insecticides et crème solaire. Et puis, et puis, mon appareil anti-douleur (Tens) … Bref notre valise fut trop petite, obligés d'en acheter une autre …

Le 22 novembre arrive vite, je pense n'avoir rien oublié.

Nous confions notre petite copine à des amis, 10 heures en soute aurait été trop cruel, la petite bête serait devenue folle. Mais je ne l'ai pas laissée sans larme, c'est la première fois que nous allions être séparés.

Les chats, eux serons à la charge de notre voisine, qui viendra les nourrir, à sa plus grande joie, elle adore les chats.

Encore 6 heures, et …

Je n'ai rien dit à Maman, non par manque de confiance ou désapprobation, mais tout simplement pour qu'elle ne se fasse pas de soucis en nous sachant dans un des ces pays africain dont la plupart bougent beaucoup. Je ne voulais pas qu'elle s'inquiète sachant que là-bas je ne pourrais envoyer aucune nouvelle. Malgré la confirmation de mon opérateur téléphonique, cela ne passera pas et envoyer un courrier, celui-ci ne serait arrivé que bien après notre retour.

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