J'avais un livre d'or, où, nombreuses vous vous étiez inscrites.

Mais voilà, j'ai tout essayé pour me reconnecter, sans succès.

De plus tout est ecrit en anglais, et là je suis perdue, je n'ai jamais étudié de langues étrangères, tout d'abord pour une question de mémoire, je n'y arrive pas, d'autre part notre langue française est si belle, pourquoi en changer.

C'est donc une blogueuse qui me l'avait installé.

Donc voilà, je n'ai plus de livre d'or.

Connaitriez-vous un site, simple, si possible en français. Dans le cas contraire il faudrait me guider pas à pas, pour l'installer.

Au secours les amies, amis, je n'arrive plus à suivre, mes journées sont trop courtes. Et si je parviens à m'asseoir devant l'ordi pour vous répondre, c'est souvent très tard et je m'endors devant l'écran. Ne m'en veuillez pas

Bon ! vous le savez je suis très variété française, et ne connais, ni ne veux du reste parler ou entendre de l'anglais

Cependant il existe des voix qui m'ont touchée et que j'aime entendre. En voici une.

Freddie Mercury (né Farrokh Bulsara le 5 septembre 1946 à Stone Town, dans le protectorat de Zanzibar, et mort le 24 novembre 1991 à l'âge de 45 ans à Londres) est un chanteur et musicien britannique, notamment connu comme chanteur du groupe de rock Queen.

Avec une grande étendue vocale et une bonne maîtrise de quelques techniques d'opéra, il demeure, parmi les plus grands chanteurs de rock du XX^e siècle, l'un des plus populaires et techniquement accomplis. Avec Queen, il compose la plupart de ses grands succès, dont Bohemian Rhapsody, Somebody to Love, We Are the Champions, Don't Stop Me Now et Crazy Little Thing Called Love. En solo, il réalise, de son vivant, deux albums (Mr. Bad Guy en 1985 et Album en 1988) comprenant les célèbres Living on My Own, I Was Born to Love You et Barcelona, en duo avec la cantatrice Montserrat Caballé.

Il apparaît sur la « liste des cent Britanniques les plus célèbres », établie en 2002 par vote national ; il y est classé cinquante-huitième¹. Le magazine américain Rolling Stone le classe dix-huitième meilleur chanteur de tous les temps². Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Freddie_Mercury

J'ai bien essayé de traduire en français, mais cela ne rends pas le message qu'il voulait faire parvenir à sa mère au travers de cette chanson, il se savais malade et savait qu'il en mourrait. Alors voici le texte en anglais

Bohemian Rhapsody

Bohemian Rhapsody Paroles sur http://www.parolesmania.com

Hier c'était la journée tonte, il faisait si beau

Ça m'apprendra à dormir dans l'herbe ! ! !

Il faut dire que j'avais les poils trop longs et je commençais à muer

Ils s'y sont mis à deux, chacun armé de ciseaux, pendant que docilement je dormais sur la table

Ma minette, elle, a travaillé à sa grille, point par point

L'ouvrage terminé fera environ 27 cm sur 50 cm de haut, ajouté à cela, l'encadrement ça fera environ 40 sur 65, une belle dimension pour mon entrée. Vous pouvez encore suggérer des modifications, il y a sans doute des défaut, c'est pas facile à faire.

Vient ensuite le choix du support, j'ai craqué pour des toiles aïda différentes

1 - Fond blanc avec petits coeurs ciel

2 - Carreaux vichy ciel et blanc

3 - Marbré ciel (avec l'ombre du cordon de mon appareil , pfff)

4 - Irisé ciel, il y a des petits fils brillants, j'adore, mais peut être chargé

5 - Un uni ciel (et mon cordon ... )

6 - Où enfin du blanc ou de l'écru

Qu'en pensez-vous ?

1, 2, 3, 4, 5, ou 6 ?

Après votre vote, "Y A PLUS QU'A", je me lance

Bon je retourne sur  le chantier, je viendrais vous visiter ce soir

Gros bisous à toutes

J'ai provisoirement abandonné mes petites croix, pour prendre une autre sorte d'aiguilles. Il fait froid dehors et un tricot est plus chaud, on en a plein le genoux. Et puis, ce que nous à proposé Hélène était si beau que je me suis laissée emporté dans son aventure. 

En premier ce fut le Châle genver, aperçu chez hélène, il m'a permis de terminer mes 8 pelotes de "impact de chez Phildar", d'un ouvrage de l'an dernier, j'étais tombée sur une solde et la laine ne se vendait que par lot de 10. Au premier abord le démarrage a été un peu dur, et puis les aiguilles ont courus et j'ai avalé mes 8 pelotes.

Il me restait également 3 pelotes de "Tonic myosotis et 2,5 de blanche, toujours chez Phildar", j'ai eu l'idée d'en faire le petit Châle Arlequin. il n'est pas bien grand mais couvre mes épaules, ça me suffit, et puis je n'avais pas le choix. Bon ! vous avez remarqué que je n'ai pas encore rentré tous les fils, c'est tout moi ça. Sophie est entrée dans mon aventure et a des idée pour s'approprier, mon modèle, suivez- là, ça va être intéressant, j'en suis sûre

Et puis  Hélène est revenue me tenter avec le Châle Gwenden,Là j'ai dû commander de la laine. J'ai trouvé mon bonheur chez "Bégère de France" où j'ai été séduite par "Pixel" un fil mélange laine avec un fil acrylique, sympa. En ce moment nous en somme à la 4ème étape, c'est un peu plus compliqué. Si pour le châle précédent il suffisait de danser une valse, "1, 2, 3, , 1, 2, 3," ici on a intérêt à bien suivre la ligne, et bien compter comme indiqué et ça file tout seul. Bravo Hélène pour ton gros boulot de diagramme. Je poursuis l'aventure ...

Et encore, lors de ma commande chez "Bergère de France", j'ai craqué pour une laine toute douce, elle s'appelle "Plume", elle porte bien son nom, un vrai bonheur.

J'ai voulu réaliser le Châle modulaire,  aperçu chez méméchristiane, Avec cette laine ça n'a pas de tenue, et puis je l'avoue, trop de fils à rentrer. Au 4ème carré j'ai abandonné et tout défait. Mais j'y reviendrais, c'est intéressant à faire, avec une laine un peu plus sèche.Allez voir méméchristiane, elle fait également des petites broderies superbes et bien d'autre choses encore.

Alors, je suis retournée chez Hélène  et son châle Aliselle, C'est bien mieux, je suis ravie du résultat. D'accord le motif est un peu noyé par le coté pelucheux de la laine, mais ce coté tout doux me plaît. J'ai l'impression d'avoir un doudou, j'adore.

Après cela je reviendrais à ma broderie, quoique, j'ai trouvé chez méméchristiane un châle rond, une pure merveille, et j'ai la laine qu'il faut, reste à trouver un modèle aux aiguilles et là je sèche, je ne trouve pas, de catalogue adéquat, ni chez Phildar, ni chez Bergère de France, grrrrr

Elle était précédemment placée sur un trépied, mais le vent la faisait tomber et les chats étaient à l'affût

J'ai donc eu l'idée de la déplacer dans l'arbre

l'arbre a reçu une coupe d'incorporation en novembre, mais déjà des petits bourgeons apparaissent, cet été mes boules de plumes seront dans le feuillage

Dessous la cabane, j'ai inséré une ancienne gamelle inox, à l'envers, ainsi, les oiseaux peuvent se poser au centre pour boire, ce n'est pas très profond ils pourront même se baigner sur les bords

Et ma foi la bonne auberge plaît, quelques graines, des boules de graisse, du pain sec (souvent mouillé en ce moment), et ça picore. Regardez, on en décèle un, affûtez vos yeux, je suis assez loin sans zoom, j'ai bidouillé la photo, on le devine à peine.

Et ce matin Mac giver à eu une drôle de surprise, regardez

Eh oui, "Poussy" visite

- voyons, voyons, il y a à manger ?

J'inspecte, je flaire, je connais ces odeurs, hummm !...

 ... voyons en dessous, si je peux boire, moi aussi ?

Je vais devoir trouver quelques chose pour empêcher "Poussy" de grimper, mais faut pas se leurrer, c'est un chat ! Et les oiseaux, généralement jamais seuls, ne sont pas suicidaires. dans un permeir temps je vais essayer de la chasser et lui interdire. Enfin on peut y croire ...

  L'ordi a planté, une fois de plus. Je recommence mon article, grrrrrr

Marre de voir ça ! Dès qu'il pleut un peu fort, et c'est fréquent chez nous, les joints sont t bien fait et tirés à l'économie, que l'eau s'infiltre et les s en souffrent, Mac Giver a dû démonter une partie qui était trempé. Les joints ont été mal fait par des gougnafiers mal embouchés, à l'économie (de bout de chandelle). À présent la suite est plus chère, que s'ils avaient mis un peu plus de ciment. D'autant qu'ils ont abandonnés un dizaine de sacs sans protection qui ont mal vécu les intempéries de l'hiver. Elle est où l'économie. Bande de c...

  Donc nous allons isoler l'extérieur, avant de pouvoir continuer l'intérieur

  Montage des murs de soutien de la terrasse, mon homme dormait bien le soir, pas besoin de berceuse.

  Mise en place des poutrelles, tout seul Mac Giver avait inventé un système, il roulait les poutrelles béton sur des tuyaux, puis dans le vide sur des roulettes de rollers, montés sur un échelle pliante (pas de photos à été démonté pour passer à la suite). Elfy, bien entendu surveille

  Puis il a joué aux légo, mise en place des marmites, toujours tout seul, j'ai bien essayé de l'aider, mais ai dû me résigner à ne faire que le café. Les ouvriers devaient venir couler la chape le lundi, il a tout fini entre samedi et dimanche. Courageux petit mec, surtout quand on sait qu'il s'est cassé deux cotes début janvier, il n'en souffre plus, mais quand même.

  Lundi matin 8 heures les ouvriers étaient là, ils ont commencé à couler et malheureusement, ont dû abandonner en raison d'un déluge qui s'abattait sur eux

  Le lendemain 8 heures, ils sont revenus avec une grande bâche, pour travailler à l'abri dessous si besoin. Fort heureusement, ils n'en n'ont pas en besoin. un ouvrier à la bétonnière, un autre qui  épandait et Mac Giver qui aidait à lisser avec la grande règle de 3 mètres. À midi, tout était coulé, restait à croiser les doigt pour qu'il ne pleuve pas avant qu'elle ait eu le temps de tirer. La pluie n'arrivera qu'à 22 heures. Et Elfy ? qui part en courant ?

  Ben ? Quoi ? Elle a signé l'oeuvre ! Papounet n'est pas content, Minette a éclaté de rire, Mais le nettoyage des coussinets dans le ciment, c'est pas top, grrrr

APRÈS ?

On re-goudronne le sous bassement, pour étanchéïfier le vide sanitaire/mini-sous-sol.

Puis, terrassement, on remet la terre tout autour de la maison.

À partir de là on pourra monter les échafaudages pour faire le crépis.

Ensuite, on remanie le toit qui s'en va chez le voisin, en fixant solidement les tuiles, un clou tous les 36, c'est pas suffisant avec le vent d'Autan.

Enfin, pose des lambris, planches de rives et gouttières

Ce n'est qu'à partir de là, qu'on pourra ENFIN, se remettre à l'intérieur

C'est la première fois que je vois cela, en général on fait le crépis à la fin ds travaux. Ben ! Non ! Pas chez nous. Ah ! Franchement, je vous recommande fortement cette entreprise, RIF BAT dont le siège est dans le Gers, le travail est si BIEN fait. Publicité gratuite, hi, hi, grrrr

Donc,  À SUIVRE ...

J'ai vu le film dimanche 18 mars sur TF1, j'y ai découvert une facette de l'artiste que je ne connaissais pas, ce passé tumultueux et son adiction à l'alcool, mais aussi cette passion de son métier. J'ai été emballée par ce film.

C'est pourquoi je vous propose cette page, et vous emporte cette semaine avec la voix de "la môme"

Édith Piaf, de son vrai nom Édith Giovanna Gassion, née le 19 décembre 1915 à Paris, et morte le 10 octobre 1963 à Grasse, est une chanteuse française de music-hall et de variétés. Considérée comme l'archétype de la chanteuse française, elle reste près de cinquante ans après sa mort la plus célèbre interprète francophone, tant en France qu'à l'étranger.

Surnommée à ses débuts « la Môme Piaf », elle est à l'origine de très nombreux succès devenus des classiques du répertoire, comme La Vie en rose, Non, je ne regrette rien, Hymne à l'amour, Mon légionnaire, La Foule, Milord, Mon Dieu ou encore L'Accordéoniste.

Artiste possédée par son métier et chanteuse à la voix tragique, elle a inspiré de nombreux compositeurs, fut le mentor de nombreux jeunes artistes et a connu une renommée internationale, malgré une fin de carrière rendue difficile par de graves problèmes de santé, et un décès prématuré à l'âge de 47 ans.

Édith Piaf fut aussi comédienne au théâtre et au cinéma.

source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89dith_Piaf

Je Ne Regrette Rien:

http://bullies.b.u.pic.centerblog.net/3e95aa47.gif

...  Besoin de vous parler, encore, une dernière fois, de Sébastien  ...

...  Des petits fragments, qui me reviennent comme ça, en vrac  ...

Dix ans …

C'est l'âge que tu as lorsque le dernier de tes frères naît. Tu vas pour la seconde fois, endosser le rôle de copain-dodo, tu l'avait déjà fait pour ton autre frère, deux grands prématurés à problème. Alors que nous sommes impuissants, pour calmer les pleurs des nourrissons, tu pars à la rescousse. Deux doigts dans la bouche, l'autre main sur l'anse du berceau, et voilà dans un mouvement lent de va et vient, sous le rythme de la succion de tes doigts, dix minutes, et hop ! Dodo, l'enfant dort, et tu réapparait triomphant. Ta sœur n'a jamais pu en faire autant, petite-maman-poule râle. Toi l'enfant terrible, qui ne peut rester cinq minute en place, où trouvais-tu cette ressource ?

Dix ans …

 1992-2002 Durant cette période tu es le grand-frère, le copain, le complice, le père. Tu vas épauler tes deux frères, votre père vient de claquer la porte, une autre vie, un autre foyer. Vous n'accepterez jamais que je refasse ma vie. Dans mon dos, tu les encourages, les stimules, les materne en quelques sorte. Les conseillant ou leur apprenant les pires bêtises comme, jouer à plante couteau sur la table de la cuisine en bois plaqué, vos méfaits cachés par la toile cirée, mais les trous se sentaient en essuyant la table. Oh ! Le triste résultat, sans parler de ma colère. Le "beau père" arrangera cela, les marques se voient toujours, et ça vous fait encore rire. De son coté ta grande sœur t'épaule du mieux qu'elle peux, la fratrie est bien soudée, j'en suis heureuse.

Dix ans …

Le temps passe et court … Combien de fois, je suis passée du rire au larmes devant tes agissements. Fleur bleue, tu m'as présenté toutes tes copines, certaines ollé-ollé ... Chapardeur, les outils disparaissaient à la maison, ton magasin ... Ta joie de vivre est communicative … Imprudent, tu roules à des vitesses excessives, j'en tremble ... Casse cou, tu inventes toutes sortes de cascades, pas grave, j'ai appris le gestes de premiers secours ...Tes emportements me déçoivent, mais s'oublient vite ... Sur ton scooter, tu fais la course avec tes deux frères en croupe et les flics aux trousses, je vous ai récupéré : moi ! dans mes petits souliers, vous ! mort de rire ... quel chagrin lorsqu'il t'ont gardés quelques temps ... Tes "fêtes" sont toujours mémorables … Avec ton beau-frère tu as fait les 400 coups ... Mais tu venais de retrouver un équilibre et tu t'assagissais,  … Mon dieu tout cela me manque. Il y a dix ans, tu te rends à une fête d'anniversaire, --Ta sœur te demande, alors que tu démarres ta voiture, "Alors frangin, quel effet ça te fait d'avoir 28 ans ?" --Tu lui répond, "Je ne pensais pas arriver jusque là"  … OUI ...

J'ai retrouvé dernièrement dans ma boite à couture, les étiquettes que je devais coudre sur vos vêtements d'écoliers. Mare, mare, de devoir découdre et recoudre, ces fichues étiquettes parce que je passais vos vêtements au poussin suivant. Alors il m'est venu une idée, trouver un surnom qui vous réunissait tous SABEHSEMA : SAndrine BEnjamin Henriette SEbastien Maximilien. Bon d'accord, ce n'est pas dans l'ordre, j'aurais dû mettre sasehbema, mais je trouvais que cela sonnait moins bien. Tollé général, vous vous êtes moqués de moi et demandé le changement. Je vous ai donné les anciennes étiquettes et les aiguilles. Ce surnom est resté.

Seb et Yette, là où vous êtes, je sais que vous êtes heureux, je vous retrouverais un jour, je sais que vous m'attendez une table dressée pour festoyer à nos retrouvailles. Cette pensée me permet de sourire et d'avancer. La vie est belle, quand même ...

19 mars 2012                                                                                      atb-d

Copyright ©  2012 - Dugourd-Tonanti - "Songes" - Tous droits réservés