• Et défilent les saisons …

     http://www.01gif-anime.com/img/nature/arc-en-ciel/arc-en-ciel-0059.gif

    L'été : les journées sont longues, le soleil offre sa clarté.

    Chaque pot, chaque vasque, croule sous les fleurs.

    Les nuits sont douces après les canicules de la journée.

    Tous les jardins arborent leurs plus vives couleurs.

     

    L'automne, qui lui succède bientôt, change la tonnelle,

    Les couleurs prennent alors des tons rouge-orangés.

    Si les journées fraîchissent, elles restent encore belles.

    Les feuilles tombent. Légères, par le vent sont balayées.

     

    L'hiver : un blanc manteau recouvre la nature endormie,

    La neige crisse sous nos pas et laisse voir nos traces.

    La bois qui craque et pétille, vous invite à la flânerie,

    Dans les cheminées, chauffe la soupe de la populace.

     

    Le printemps, soudain sort la nature de sa torpeur,

    Le moindre bourgeon explose sous les premiers rayons,

    De tendres couleurs pointent dans une douce éclosion.

    Les oiseaux alors, entament leurs règnes tapageurs.

     

    L'été, à nouveau, refait son entrée, un an est déjà passé.

    Me revoilà dans mon élément. Sur le sable, allongée,

    Je m'adonne doucement au farniente, je me laisse aller,

    Je goûte pleinement le soleil qui me fait une peau halée.

     

    Toutes les saisons, ont certes leur charme, leur beauté.

    Mais c'est en été que je revis, que je me sens bien,

    J'ai besoin du soleil, de sa chaleur, des longues journées,

    La nature dans toute sa splendeur enchante mon âme.


    23 x 2004                                                           A.T.B.

     

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  • Les Quatre saisons

     http://www.gifsmaniac.com/gifs-animes/meteo/arcenciel/meteo-arcenciel-10.gif

    Après les terribles froids des saisons d'hiver

    Le doux printemps est arrivé

    Les champs sont redevenus vert

    Toute la nature renaît

     

    Le doux printemps fait place au bel été chaud

    Qui à son tour embellit la nature et,

    La couvre de jolies fleurs d'août

    Pâquerettes, boutons d'or, trèfles et bleuets

     

    Voici maintenant l'automne aux teintes vives

    La jolie saison pour les artistes peintres

    Saison pendant laquelle les couleurs sont peintes

    Mais après l'automne le rude hiver arrive

     

    L'hiver où tout arbre, de feuilles est dépouillé

    Il neige et il fait froid

    Les petits étangs sont gelés

    Mais le printemps sera là après les grands froids

     

    Ainsi les quatre saisons roulent et roulent

    Toujours, toujours pareil à une boule

     

    Mercredi 25 mars 1964                          A.Tonanti

     

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  • http://www.jedessine.com/_uploads/_tiny_galerie/20090311/arbre-source_lrs.gif

    Le Printemps

     

    ~#~

    L-e renouveau de la nature

    É-bauche timidement ses premières fleurs

    ~#~

    P-remiers bourgeons, la nature explose,

    R-enaît, après un si long sommeil hivernal

    I-mitant cette végétation, les enfants aussi

    N-aissent à la vie, souvenir d'un tendre été,

    T-enant tant d'espoir dans leurs petites mains.

    E-t vous, au printemps, à quoi songez-vous ?

    M-erci à vous, parents, de nous avoir choyés

    P-etits enfants accrochés à vos bras,

    S-agesse des aînés pour leurs "petits".

    ~#~

    26 III 1998                                                       A.T.B.

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  • http://storage.canalblog.com/83/90/355802/54609471.gif

        

    Je l'ai trouvé chez     Mamie Dany

    Bisous

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  •  

    La Maisonnette dans le Mimosa

     

    http://jp59.j.p.pic.centerblog.net/yjasnheb.jpg

     

    L'hiver 2001, une vague de froid s'abat sur notre région et a raison de mon magnifique mimosa. Entièrement brûlé par le gel, à la fin du printemps 2002, j'ai dû le couper. Sur le tronc scié à hauteur des yeux je plaçais une petite maisonnette et laissais une branche isolée servant de perchoir. J'y plaçais des graines et une boule de graisse. Je n'ai pas attendu longtemps pour voir des piafs se chamailler pour piller le refuge, charmant spectacle du matin en sirotant mon café à l'abri de notre véranda.

    Au milieu de l'été, j'ai remarqué quelques pousses à la base du tronc, l'arbre n'était donc pas complètement mort. Je sélectionnais les plus belles ramilles que je dirigeais autour du tronc desséché. L'hiver venu mes petits protégés pouvaient se cacher entre le frêle feuillage qui parvenait aux abords du nichoir.

    Printemps 2003, les branches forcissent et casse les liens. L'abri durant l'été se trouva envahi par les branches. J'ai même dû refaire la maisonnette en …, bois plus solide, et à l'épreuve des intempéries. Mes petites boules de plumes ont bien vite pris l'habitude de se regrouper autour de cette manne et pour moi c'est un véritable délice de les observer. Les branches prenant de la vigueur, elles ont raison de mes attaches, libérées, elles se couchent plus ou moins. Nous profitons de la mise en sommeil de la nature et nous reficelons l'ensemble avec des sangles de déménageur.

    Printemps 2004, le mimosa a repris de la vigueur et la maisonnette est submergée, deux grosses branches la repoussent et risquent de l'arracher. Je décide d'élaguer l'arbre, libérant le petit abri. De plus, mes petits protégés ayant plus de visibilité, ils voient arriver les chats du voisinage, qui avaient pris l'habitude d'établir leur domaine de chasse à cet endroit.

    Aujourd'hui je surveille, l'évolution de mon mimosa et la tenue de la maisonnette. J'avoue que ce remue-ménage de petits emplumés tient une grande place dans mon cœur, souvenir d'êtres chers qui eux aussi se sont envolés un jour. Longue vie à mes oiseaux !

    7 mai 2004                                                                              A.T.B.

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  • http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/00/45/64/gifs/georges/029.gif

    Allongée à l'ombre d'un grand hêtre,

    J'écoutais, fascinée, le chant d'un oiseau.

    Sa mélodie claire envahissait mon être,

    Faisant courir des frissons sur ma peau.

     

    Il piaillait fort, rameutant ainsi tous les compères,

    Un conciliabule exquis ne tarda pas à s'établir,

    Chacun laissant sa belle voix jaillir.

    Une véritable sérénade s'élevait dans l'air.

     

    J'entendais un véritable dialogue fuser,

    Je me sentais envahie de toute part.

    Que pouvaient-ils bien se raconter ?

    Quel était le sujet de ce doux palabre ?

     

    Parlaient-ils avec les "Dieux",

    Avec leurs cris lancés vers les cieux ?

    Je ne sais vraiment, mais ce gentil babil,

    Me laissait le corps et l'esprit fébrile.

     

    15 mars 2004                                              A.T.B.

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  • Comme si un départ à la retraite, une pendaison de crémaillère et une union ne suffisait pas, me voici avec un déménagement impromptu sur les bras.

    Et oui un "gentil fifils à sa maman" a décidé sans tambour ni trompette, de vider le garde-meubles, choisir au passage ce qui l'intéressait, et livrer en avertissant la veille pour le lendemain, de livrer meubles et cartons. Un vrac immonde dans un appartement, notre amie dont la santé n'est pas excellente, se retrouve avec des meubles à remonter, des cartons qui empêchent tous mouvements. Bref un merdier pas possible.

    On devait aménager la maison, la décorer pour sa retraite ... Et bien il faut avant tout, remonter les meubles et planquer vite fait les cartons.

    Je suis sur les genoux, ma cheville et mon dos me font souffrir, je dors mal, mais il faut que j'avance quand même.

    Souhaitez nous bon courage, j'en ai besoin et Pat aussi.

    Je tacherais de vous faire des coucous quand même, mais je ne promets emrien

    Bisous à tous et toutes

    Tit'Anik

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  • J'ai été avertie par une internaute Nounedeb, que le texte d'hier de ma Grand-mère était peu ou prou celui de jean philippe Rameau.

    J'avoue sur le coup avoir été un peu déçue, mais après tout elle avait peut-être raison. Ma grand-mère ayant trouvé ce texte très beau aurait  pu le recopier. Mais voilà ma curiosité a été activée et j'ai voulu en savoir plus. J'ai découvert sur un premier site que l'oeuvre n'était pas de Rameau :


    Ne cherchez plus !
    L'Hymne à la Nuit n'est pas de Rameau !

    "La Nuit" est en effet d'une adaptation pour choeur faite par Joseph NOYON et E. Sciortino, du duo des Prêtresses de Diane que l'on peut entendre à l'acte 1, scène 3, de l'opéra de Rameau Hippolyte et Aricie :

    "Rendons un éternel hommage
    A la divinité qui règne sur nos coeurs.
    Mais pour mériter ses faveurs
    N'offrons à ses autels que des coeurs sans partage"


    Cependant je n'ai pas voulu m'arrêter à cette seule information et j'ai découvert ce qui suit sur un autre site

    O NUIT MYSTÉRIEUSE

    nuit-txt3-bis-copie-1.GIF

     

    Cette mélodie " La Nuit ",
    remise à l'honneur récemment par le film "Les Choristes"
    et la merveilleuse voix de Jean Baptiste Maunier,
    est une adaptation pour choeur
    faite par Joseph NOYON et E. Sciortino,
    du duo des Prêtresses de Diane ,
    à l'acte 1, scène 3, d'Hippolyte et Aricie
    opéra de Jean Philippe Rameau (1683-1764) :

    "Rendons un éternel hommage
    A la divinité qui règne sur nos coeurs.
    Mais pour mériter ses faveurs
    N'offrons à ses autels que des coeurs sans partage"


    C'est cette adaptation du Maître de Chapelle de St Honoré d'Eylau
    (1888-1962)
    qui a donné naissance à la mélodie intitulée "Hymne à la Nuit"
    empruntant plusieurs textes dont ces 3 strophes
    que vous découvrez sur cette page .
    Vous l'écoutez présentement en fond sonore ,
    si bien que vous pouvez la fredonner en même temps.

    Cette version est celle que j'ai apprise et chantée
    lorsque tout enfant je faisais partie
    d'une Manécanterie de Petits Chanteurs .
    J'en étais même un des solistes .
    C'était en 1942 à Bolbec en Seine Maritime .
    En créant cette nouvelle page personnelle,
    je veux ressusciter en moi un souvenir et vous le partager.


    Je ne sais si le poème de ma Chère Grand-Mère est une simple copie, auquel cas je m'excuse de le lui avoir attribué

    Ou bien si justement l'oeuvre lui ayant tellement plus, Elle s'en est inspiré pour écrire son propre poème.

    Elle seule pourrait le dire, mais hélas Elle n'est plus là pour le confirmer

    Toujours est-il, que cela appartienne à L'un ou à l'autre, cela n'a pas d'importance, c'est tout de même un très beau poème

    Amitiés à toutes


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